Collection Le Marin. J’Ai Même Baisé La Femme De Mon Ex-Commandant (1/1)

Le 8 février 2021, en voyant le texte publié sur notre site HDS préféré, d’une de mes histoires de marins, je me suis souvenu d’une autre de ces aventures.
Comme le dit le titre, j’ai eu la chance de sauter la jeune femme d’un de mes ex-commandants.
Revenons quelques années en arrière !
C’est à quelques jours après avoir baisé la femme de mon copain que cette aventure m’est arrivée.
Cela c’est passé en deux phases.
La première j’étais sur un petit patrouilleur côtier et me rendant au super marché, j’ai croisé mon commandant avec son épouse.
Pour des unités de ce tonnage, nous étions commandés par un capitaine de corvette ayant trois galons sur ses épaules.
Petit bateau et jeune commandant venant d’être nommé.
Comme on le sait, j’avais une vingtaine années et lui gère plus, 25 à 26 alors que sa femme m’a paru plus jeune.
Étant en tenue, j’ai fait un salut réglementaire.

• Merci quartier maitre électromécanicien Christian.
Lorsque nous sommes en ville, qui plus est dans ce supermarché, vous pouvez oublier le salut militaire.
• Merci commandant, sans vouloir vous vexer, c’était la beauté de votre jeune épouse que je saluais.
• Si j’ai bien compris, à ce que viens de dire mon époux, vous êtes quartier maître électromécanicien sur le bateau qu’il dirige.
• Oui, madame, pour vous servir.
• C’est un bon comandant !
• Comment dire du mal de lui, madame alors qu’il est devant moi ?

Ma maman m’a appris les bonnes manières même si cette phrase à la femme de mon pacha autre nom d’un commandant de navire a pu paraître ambiguë.

• Alizée, tu en as assez fait, je croyais que tu étais pressée.
À demain, matelot, passez une bonne soirée

Ce moment où j’ai croisé ce couple était la première phase de mon histoire.
Les temps ont passé et j’avais complètement oublié cette rencontre.
J’ai quitté le patrouilleur côtier ayant pris un galon et été nommé quartier-maitre chef toujours en électromécanique.


Le commandant Robert, lui a changé d’affectation et s’est retrouvé sur un escorteur faisant partie de l’escadre de la Méditerranée.

Ayant une affectation à terre, à la base des sous-marins de Toulon, j’ai eu la bonne idée de prendre un studio non loin du supermarché.
Pour me nourrir, il me fallait faire des provisions en préparation de mon week-end !
C’est à ce moment que la deuxième phase débute.
On me tape sur l’épaule.

• Tu te souviens de moi Christian, si je me souviens bien de ton nom !
En civil sans ton pompon je suis passé près de toi manquant de te reconnaître.
Je suis, Alizée la femme du capitaine Robert !
• Oui, je me souviens, j’avais admiré ta beauté.

Elle me tutoie alors j’en fais de même.

• Je vois que tu es seule ce soir !
• Oui, Robert m’a abandonné pour trois mois !
Il a été nommé second sur un escorteur qui accompagne le porte-avion Clemenceau et l’escadre est partie dans le golf persique.
Ils ont relâché à Djibouti et il a pu me téléphoner.

Dans ces années-là, les communications étaient plus restreintes et plus difficiles, les portables étaient loin d’avoir vu le jour.

• Ça tombe bien que je te croise, tu vas peut-être pouvoir me dépanner.
Si ma mémoire est intacte, tu es mécanicien !
• Électromécanicien, pourquoi ?
J’étais mécanicien avant de changer de spécialité profitant d’une opportunité de monter en grade plus vite, ça vient d’être créé.
• La plomberie, tu t’y connais, j’en ai appelé trois, le plus rapide à me dépanner me demande un mois, avant simplement de voir ce qui cloche !
• Sur les bateaux, nous faisons beaucoup de choses, il faut voir.
• Froid chaud, c’est pareil, ça semble venir de là.
• Je pense pouvoir te dépanner, ce doit être le mitigeur qui merde.
Au pardon, Alizée, qui déconne.
• Rien de grave Christian, j’aime le franc-parler.
Nous sommes vendredi, peux-tu venir dimanche à 13 heures.

Je te note notre adresse sur ce papier, c’est facile, notre pavillon est à 500 mètres d’ici à gauche en sortant !
• Compte sur moi je serais là et je ferais le nécessaire.

Naturellement elle me claque la bise, pour une femme d’officier, c’est une perle, pas collet monté, comme certaines de ces dames que j’ai rencontrées et qui pètent plus haut que leur cul.
C’est dans la nuit, qu’une idée me réveille.
Quel con, dimanche si je dois changer quelque chose, impossible de faire le moindre achat à Brico-vert, le nouveau magasin de bricolages et de jardinages venant d’ouvrir à deux pas du supermarché.
Le samedi à 13 heures, je sonne chez Alizée.
Personne pour répondre.
Je sonne une deuxième fois quand du coin du pavillon, j’entends la douce voix de cette magnifique brune, me dévoilant une grande partie de ses charmes.
Maillot deux pièces, le haut me montrant une paire de nibards qui doivent remplir les mains du commandant.
Le bas peu de chose à dire, une chatte entourée de tissus à fleur avec deux jolis petits nœuds de chaque côté.

• Christian, tu es là, je regardais discrètement qui sonnais, j’avais peur d’un emmerdeur.
Je t’attendrai demain !
J’étais sur l’arrière sur mon transat à lire en me faisant bronzer.

Je lui explique l’utilité de regarder aujourd’hui son souci.
Pourquoi retarder au lendemain ce que l’on peut faire le jour même ?
Elle fait le tour et vient m’ouvrir.
De nouveau la bise, j’ai mis un survêtement que je me sers quand je travaille.
Heureusement, car quand elle se pend à mon cou, mon sexe a tendance à se réveiller.

• Viens c’est au 1er, en passant par cette porte, tu entres dans le garage, ou tu vas trouver la panoplie du parfait bricoleur laissé par le petit vieux qui habitait avant nous.
Je retourne me lire l’histoire, d’une jeune femme découvrant l’amour dans les bras d’un bel italien.

Je fais un essai de fonctionnement du mitigeur, tout est grippé, cette pièce semble là depuis Matusalem.

Pour démonter, il faut que je coupe l’eau, j’entre dans la chambre voisine.
Leur chambre, sa chambre.
Je vois un coin rose dépassé d’un des oreillers, je le soulève discrètement, une nuisette est là, sa nuisette.
Je la prends délicatement et je la sens.
Ça sent la femelle et là je bande carrément.
Je remets tout en place et je vais à la fenêtre.
Je la découvre sous moi sur une terrasse dans sa chaise longue, avec une piscine.
Rien de visible du devant de la maison.
Un vrai coin de paradis dans cette région près de la mer.
J’ouvre la fenêtre, elle sursaut lorsque je l’interpelle.
Le robinet d’arrêt général est dans le garage, impossible que je le loupe.
Bref une fois dépausé, j’avais raison, tout est grippé par la corrosion accumulée aux files des années, il me faut aller en chercher un neuf.
Alizée que je rejoins me donne son porte-monnaie, rempli de billets de 100 francs de l’époque.
Fine lame, j’ai mesuré l’intervalle du système de fixation, j’en trouve un qui fera l’affaire.
Il est cinq heures, je viens de remettre en eau dans le garage et je retourne vers la salle de bains lorsque Alizée me rejoint.
Nous montons au 1er, son odeur identique à celle de sa nuisette me fait de nouveau bander.
Je prends la douchette et j’ouvre l’eau, tout fonctionne, je règle la température et je repose l’ensemble à sa place.
Elle avance pour ouvrir à son tour.
Avant qu’elle puisse réagir, je saisis les deux petits nœuds que je tire.
Son cache-sexe tombe à mes pieds.
J’en fais de même avec le soutien-gorge.

• À toi l’honneur Alizée, que penses-tu de mon travail.

Avant qu’elle réponde, je me dénude plus rapide que l’éclair et d’une main je mets le jet plein et je me plaque sur ses fesses.
Elle fait ce que toute femme mariée doit faire en protestant plus que mollement alors que ma main l’enserre et vient empaumer un des seins me faisant bander dès que je les ai vus.

À ce point de mon récit, je dois dire que je suis célibataire, mais que j’ai une maîtresse quinquagénaire en région parisienne qui m’a tout appris et surtout d’éviter d’être un chien fou.

Je lui caresse le clito qui répond à mes sollicitations.
J’entre deux doigts, elle mouille en plus de l’eau nous tombant dessus.
C’est elle qui écarte ses jambes pour que je trouve mon chemin, me montrant par là même qu’elle se donne, qu’elle s’offre à mes grands coups de bite qu’Agnès à Paris m’a appris à maitriser.

• Tu me tues Christian, continue, tu es un amant exceptionnel.

Elle jouit, s’amollissant dans mes bras après un orgasme qui la dévaste.
Je la porte jusqu’au lit encore mouillé.
Je lui suce la chatte pendant qu’elle en fait de même avec ma bite.
Je tiens encore longtemps jusqu’à une nouvelle jouissance pour elle avant de terminer en la prenant dans un bon vieux missionnaire, ses jambes entourant me reins.
Dans un mouvement l’oreiller à côté de celui ou se trouvait sa nuisette, tombe.
Le pyjama du commandant est là attendant son retour.

• Alizée quand je te prenais tu as parlé d'un amant exceptionnel, en as-tu eu beaucoup.
• Grand fou, dans notre milieu, les jeunes filles nous nous marions vierges, Robert a été le premier et le seul avant toi, mon merveilleux amant.
Je vais te faire une confidence, mon mari est un éjaculateur précausse, tu es celui qui m’a fait découvrir la jouissance et l’orgasme.
En plus, je suis la fille de l’amiral Joseph, qui dirige la flotte de l’atlantique, il m’a élevé à la dure regrettant que je sois une fille.

J’aurais dû prendre peur, je suis resté jusqu’à deux jours du retour du capitaine.
Nous avons baisé dans tous les lieux, surtout dans la piscine et même assis sur une chaise dans la cuisine.
Dans les semaines qui ont suivi, j’ai revu Alizée plusieurs fois, mais chez moi lorsque le cocu était de service sur son escorteur.
Une vraie folle du cul, je la baisais dès que nous avions franchi ma porte la prenant le long du mur et la faisant partir dans des délires sexuels.
Et d’un coup plus de visite impromptue, je l’ai revu une dernière fois, quelques mois plus tard au supermarché avec Robert.
Il poussait un landau fruit de ses amours ou des miens, mais je me suis bien caché pour éviter toute question embarrassante.
Par chance, j’avais demandé de partir en campagne outremer.
Je viens d’apprendre que je suis nommé à Papeete à Tahiti pour un an renouvelable une fois.
Tahiti, fais attention à tes femmes, le marin arrive.

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